Enfants d’amour
Les enfants rêvent bien d’un doux petit matin
Se lovant dans les bras de maman généreuse
Qui regarde dormir dans l’aura vaporeuse
Le nourrisson bercé d’un amour de satin…
Et l’on perd le reflet qui du doute incertain
Quand derrière une glace où s’éteint désireuse
Une âme désertée en légende amoureuse
Vient aux yeux une larme où scintille l’étain.
Je croyais être enfant d’une idylle embrasée
Dont je sais qu’on oublie une histoire abrasée
Des airs passionnels que l’on a consumés.
Je garde la raison pour savoir le mystère
Qui dévoile la nuit sous l’astre imaginaire
Le souvenir béant qui vous pousse à jamais…
Maria-Dolores
Les enfants rêvent bien d’un doux petit matin
Se lovant dans les bras de maman généreuse
Qui regarde dormir dans l’aura vaporeuse
Le nourrisson bercé d’un amour de satin…
Et l’on perd le reflet qui du doute incertain
Quand derrière une glace où s’éteint désireuse
Une âme désertée en légende amoureuse
Vient aux yeux une larme où scintille l’étain.
Je croyais être enfant d’une idylle embrasée
Dont je sais qu’on oublie une histoire abrasée
Des airs passionnels que l’on a consumés.
Je garde la raison pour savoir le mystère
Qui dévoile la nuit sous l’astre imaginaire
Le souvenir béant qui vous pousse à jamais…
Maria-Dolores